jeudi 3 mai 2007

Le Web de demain ou des idées de création de votre start-up

L'essor du Web 2.0 est synonyme de contenus de plus en plus gratuits, puisque fournis par les utilisateurs (sites communautaires, échanges de biens et services entre internautes, etc...). Les sociétés de capital risque sont donc de retour et ont investi 43 millions d'euros sur le 1er semestre 2006, soit 87% de plus qu'en 2005.

Ci après quelques sites qui risquent de faire parler d'eux :

http://www.netvibes.com/ : ce site permet de concevoir sa propre Home Page personnalisée suivant ses besoins et sans aucune publicité. Une fois inscrit, on peut choisir ses sources d'infos (journaux, blogs, forums), ses moteurs de recherche (texte, photos, vidéos, musique) plus une multitude de modules pratiques (météo, dictionnaires, plans, etc...)

http://jajah.com/ : Avec Jajah, la téléphonie sur Internet c'est simple comme un coup de fil ou presque. Pas besoin de posséder de micro, de casque, d'installer un boîtier ou un logiciel. Pour utiliser le service de voix sur IP de Jajah, une simple connexion à Internet et une inscription sur le site Jajah.com suffit (un test gratuit de 4 minutes est proposé). Pour passer un appel dans le monde entier, l'internaute doit juste saisir son numéro de téléphone, en respectant la syntaxe d'un numéro de téléphone, à savoir indicatif du pays, préfixe local, numéro local. Il indique ensuite le numéro de son correspondant. Il ne reste plus qu'à cliquer sur « Appeler », et le tour est joué. Le téléphone fixe ou mobile de l'utilisateur se met alors à sonner. Dès qu'il décroche, celui-ci est mis en relation avec son correspondant sur n'importe quel numéro. Et ce, avec une qualité de communication excellente, bien meilleure que celle d'autres services de voix sur IP, où les utilisateurs doivent souvent supporter des échos, des décalages ou des coupures.

http://www.ether.com/ : Besoin de pratiquer l'anglais ou d'obtenir un conseil informatique ? Et bien sur Ether, vous pouvez achetez et vendre des compétences. Les vendeurs créent gratuitement leur profil qui précise le service proposé et le tarif par minute de "consultation" au téléphone. Les acheteurs règlent Ether, qui prend une commission de 15% sur chaque appel et verse le reste au consultant. Les + demandés gagnent jusqu'à 100 000 $ !!!

http://www.vozavi.com/ trie les avis des consommateurs. Quoi de + fiable que l'expérience d'autres utilisateurs pour juger d'un produit ? S'ils se sont déja pris la tête pour choisir un FAI ou un lecteur MP3, autant que ça serve aux autres. Vozavi se rémunère ensuite sur les clics vers les sites marchands et la vente d'analyses ciblées.

http://www.prosper.com/ invente le prêt entre particuliers. Besoin de 10 000 € pour acheter une voiture sans passer par une banque ni taper vos proches ? C'est désormais possible avec le 1er site "peer to peer" de crédit. Prosper met donc en relation les petits emprunteurs et les petits épargnants. L'un indique la somme voulue et le taux max qu'il est prêt à payer et l'autre précise le montant de leur avance et le taux souhaité. Ensuite, le logiciel compare l'ensemble et propose un prêt aux conditions optimums. Au passage, Prosper perçoit 1% des sommes obtenues + 0.5% des sommes annuelles perçues par les créanciers. Depuis son lancement, Prosper a déjà généré 25 millions de $ de prêts.

http://technorati.com/tag/technocrati : Qui blogue quoi ? Technocrati indexe 57 millions de blogs. Il ne faut pas plus de 5 minutes pour qu'un article mis en ligne sur un blog soit répertorié chez eux. La veille se fait donc en temps réel.

http://www.yoono.com/index.jsp fouille dans les "favoris" pour conseiller les + populaires. Une fois l'application téléchargée, des suggestions de sites classés "favoris" par d'autres membres de Yoono s'affichent. Ce système a déjà séduit 350 000 utilisateurs et en enregistre 3 500 chaque jour.

http://www.facebook.com/ fédère des milliers de groupes d’amis. Il est d’ores et déjà classé dans les 20 sites les plus fréquentés avec 14 millions de membres d’enregistrés. Facebook permet à ses membres de mettre en ligne leur journal personnel, leurs photos ; leur carnet d’adresses et autres bons plans. Une fois inscrit vous accédez à 40 000 réseau actif aux USA.
Les concurrents : Linkedin, Friendster, Orkut, Copainsdavant.

http://digg.com/ note la qualité des articles. Digg est ainsi devenu la 1ère revue de presse réalisée par les Internautes eux-mêmes. Ses membres sélectionnent les articles de presse et les vidéos qui leur ont plu sur le Web, ce qui finit par former un hit parade des documents les plus populaires. Digg référence 5 000 nouveaux documents par jour et se classe au 23ème rang des sites les plus visités aux USA.
Le concurrent : Wikio (crée par Pierre Chappaz, fondateur de Kelkoo)

Les assistants personnels : les meilleurs PDA du marché de 99€ à 850 €

Les PDA font de plus en plus partie de notre quotidien. Synchronisés avec un ordinateur, ils nous permettent d'avoir en permanence notre agenda et nos contacts à jour. Cela permet également de rédiger des notes ou de téléphoner. Certains vous permettent même de surfer sur Internet ou de recevoir vos emails. Bref, un véritable ordinateur de poche

Pour voir le comparatif, cliquez ici

VoyagerMoinsCher lance un méta moteur aérien

Le comparateur de voyages a ouvert BilletMoinsCher, limité aux seuls billets d'avion. Objectif : tester une technologie de méta moteur avant de la généraliser sur son site.

Lorsqu'ils se diversifient, les comparateurs de prix ont plutôt tendance à augmenter le nombre de secteurs "comparés", plutôt que de se spécialiser. Pourtant, c'est la stratégie pour laquelle VoyagerMoinsCher a en apparence opté, avec BilletMoinsCher. Ce service compare les prix des billets d'avions de plusieurs agences en ligne, les mêmes que ce que propose déjà VoyagerMoinsCher.com dans son onglet "Avion".

Alors pourquoi cette nouvelle adresse ? En réalité, la création de ce nouveau site, ouvert depuis un mois, répond à une logique "technologique". La société veut en effet, à terme, utiliser la technologie de "méta moteur", qui permet de chercher les offres de ses partenaires directement sur leurs moteurs. Ces offres sont ensuite "rapatriées" sur le site du meta moteur. Avec ce système, les internautes ne sont pas redirigés directement sur les sites des partenaires (Go Voyages, Lastminute, Voyagessncf.com, eBookers, Opodo, Vivacances et Terminal A.

"L'enjeu est d'avoir une meilleure lisibilité des résultats, affichés plus rapidement par prix, partenaires et compagnies. Nos partenaires obtiennent ainsi des taux de transformation plus élevés", explique le co-fondateur Pierre Brisset. Avec tous ces avantages, pourquoi ne pas déployer cette technologie, développée par l'agence Churchill, dès maintenant sur VoyagerMoinsCher ? La société ne voulait pas dérouter les internautes avec deux systèmes différents de recherche sur un même site.

Les billets d'avion ne devraient pas être le seul domaine a profité de ce méta moteur. "L'idée est de transférer cette technologie sur VoyagerMoinsCher", explique Pierre Brisset, précisant que les vols demandent moins de développement que d'autres catégories. La société a commencé il y a quelques semaines à développer un système équivalent pour les hôtels, beaucoup plus lourd à mettre en place en raison du nombre plus élevé de références. En septembre 2007, les deux catégories devraient être intégrées en même temps sur VoyagerMoinsCher.

Fondé en 2000, le comparateur - qui revendique 75 millions de volume d'affaires en 2006, en hausse de 50 % par rapport à 2005 - s'était jusqu'à présent concentré sur le marché français. "Nous attendions d'avoir une technologie de pointe pour nous développer à l'étranger", explique le co-fondateur. C'est désormais chose faite, mais rien n'est encore décidé en matière d'implantation. Les marchés émergents sont évoqués, même si les grands pays européens ne sont pas exclus. En cas de besoins financiers pour une acquisition, les fondateurs pourraient pour la première fois ouvrir le capital. D'ailleurs, la société est devenue fin 2006 une SAS. Un statut juridique intéressant pour l'arrivée de nouveaux investisseurs.

Le site : http://www.voyagermoinscher.com/

Têtes à Claques : je suis Fan !

Le Pilote (Partie 1):



Le Pilote (Partie 2):



Le Pilote (Partie 3):



Le Body Toner :



Le Willi Waller :

mercredi 2 mai 2007

Yahoo rachète le eBay de la bannière

Déjà actionnaire de Right Media, Yahoo dépense 680 millions de dollars pour acheter les 80 % restants de la place de marché de bannières publicitaires. C'est la réponse de Yahoo à Google.
Pour les géants du Web, la publicité est décidément le nerf de la guerre. Deux semaines après le rachat de DoubleClick par Google (lire Google rachète DoubleClick, du 17/04/07), Yahoo met la main sur Right Media, un autre spécialiste de la publicité en ligne. Déjà actionnaire à 20 % de cette société, le portail dépense 680 millions de dollars pour racheter les 80 % restants. La transaction est financée à parts égales en actions et en cash.
Yahoo n'avait déboursé que 40 millions de dollars en octobre dernier pour entrer dans le capital de Right Media. Six mois plus tard, la valeur de cette société née en 2003 a plus que quadruplé. En cause, le rachat record de DoubleClick par Google, mais aussi l'activité de Right Media qui semble-t-il a suscité beaucoup d'intérêt sur le marché. Car cette société est en fait une place de marché de bannières publicitaires pour annonceurs et éditeurs. Un modèle qui intéresse beaucoup d'acteurs. A commencer par DoubleClick, qui avait annoncé, avant son rachat, son intention de proposer une place de marché similaire et qui la teste actuellement avant un lancement prévu pour le troisième trimestre 2007.

Cette acquisition intervient dans un contexte de baisse continue de la rentabilité de Yahoo. Le bénéfice net du portail a perdu 60 % en 2006 (lire Yahoo : rentabilité en baisse mais espoir en hausse, du 25/01/07) et la tendance se poursuit au début 2007. Yahoo a ainsi enregistré au premier trimestre un résultat en recul de 11 % sur un an, pour un chiffre d'affaires en hausse de 7 %. La société compte sur la technologie de Right Media pour mieux valoriser les espaces publicitaires sur ses propres sites, en particulier là où la demande des annonceurs est la moins forte.

Yahoo ajoute par ailleurs à son réseau publicitaire les quelques 1.000 sites clients de Right Media, qui utilisent la place de marché principalement pour vendre leurs espaces "non premium". Yahoo espère se positionner par exemple sur la publicité pour réseaux sociaux, en plaçant des bannières contextuelles sur les pages personnelles souvent peu visitées. Les réseaux sociaux ont traditionnellement des difficultés à monétiser leurs larges audiences, à cause notamment de la réticence des annonceurs à associer leurs marques à des contenus produits par les utilisateurs. Yahoo lui-même possède des services de ce type, comme le site de partage photo Flickr, celui de partage des favoris De.licio.us ou encore Answers ("Questions Réponses" en France).

Le rachat de Right Media donnerait par ailleurs à Yahoo un poste d'observation privilégié sur le marché des bannières publicitaires. La société accède en effet aux données de l'offre et de la demande. Mais Yahoo prend soin de préciser que sa place de marché garantit la transparence et l'ouverture. "Nous pensons que cette approche ouverte différencie Yahoo d'autres acteurs du secteur", déclare le PDG Terry Semell. Une allusion directe au rachat par Google de DoubleClick, bien que celui-ci compte à son tour lancer une place de marché.

jeudi 26 avril 2007

Mon Candidat : Nicolas Sar.....

Les mots clés les plus recherchés

Personnalités, films, e-commerçants, services en ligne, peer-to-peer, jeux en ligne…
Quels ont été les mots clés les plus recherchés au premier trimestre 2007 aux Etats-Unis et en France ? L’actualité politique a-t-elle pesé sur les recherches des internautes français en ce début d’année ? Y a-t-il des différences notoires entre les différents moteurs de recherche et entre la France et les Etats-Unis ?
Le point avec le palmarès des requêtes par moteur :
GOOGLE FRANCE
  1. Orange
  2. Tokio Hotel
  3. NRJ
  4. Vidéo
  5. Facebox
  6. La Redoute
  7. Boursorama
  8. Allociné
  9. Air France
  10. Naruto
En France en mars, les préoccupations sont très différentes. Les starlettes sont loin d'être à l'affiche. A leur place, des entreprises dont l'activité est liée à Internet. La première d'entre elles est d'ailleurs l'opérateur télécom Orange, suivi à la troisième place par le groupe média NRJ, bien implanté sur Internet mais aussi sur le secteur des mobiles. Autres entreprises largement recherchées sur le Web en mars dernier : le vépéciste La Redoute (6ème position), mais aussi le courtier en ligne Boursorama qui dorénavant est aussi un réseau bancaire (7ème position), Allocine (8ème), ainsi que Air France (9ème position). Un réseau social se distingue également : Facebox, aujourd'hui devenu Netlog.Les phénomènes de mode ne sont toutefois pas totalement absents de ce classement : le groupe de musique allemand Tokio Hotel s'adjuge la deuxième place, tandis que Naruto, le dessin animé japonais le plus téléchargé en P2P et dont la saison 2 vient de sortir à l'étranger, arrive en 10ème position.
YAHOO FRANCE
  1. Akon
  2. Vitaa
  3. Shakira
  4. Olympique de Marseille
  5. Plus belle la vie
  6. Nicolas Sarkozy
  7. Nelly Furtado
  8. Avril Lavigne
  9. Mika
  10. Nouvelle star

En France, l'instantané des recherches effectuées en mars 2007 sur Yahoo est, par contre, beaucoup moins composite. Une thématique ressort très nettement dans les requêtes des internautes : la musique, que celle-ci soit associée à des chanteurs (Akon, Vitaa, Shakira, Nelly Furtado, Avril Lavigne, Mika) ou à une émission musicale très populaire, la Nouvelle Star. A noter tout de même trois autres thématiques : le sport avec l'Olympique de Marseille, une série télévisée avec Plus belle la Vie et, tout de même, la vie politique française avec Nicolas Sarkozy qui ressort en 6ème position.

mardi 24 avril 2007

Durex recrute ses testeurs de préservatifs sur le Web

Déçu de la sincérité des réponses lors d’enquêtes de terrain, la marque du groupe SSL Healthcare a déployé un vaste dispositif de communication online. 20.000 internautes vont tester le dernier né de ses préservatifs.

Pas simple pour un fabricant de préservatifs d'obtenir des informations utiles sur ses produits. Le sujet est intime, laissant planer des doutes sur la fiabilité des informations recueillies par des enquêtes consommateurs, que se soit en tête à tête ou en groupe. "Il est difficile d'obtenir de vraies informations sur le sujet, témoigne Emma Berger, directrice marketing de SSL Healthcare. Parler en détails de ses relations sexuelles n'est pas toujours socialement valorisant, et les gens sont souvent gênés. Mais Internet casse cette barrière car personne n'est en face de pour vous juger, c'est pour cela que nous avons eu l'idée de recruter des testeurs sur le Web pour réaliser une enquête 100 % en ligne".

Pour tester le média, SSL Healthcare, maison mère de Durex, a décidé de récolter les avis consommateurs des internautes sur son dernier produit, Pleasuremax. Le projet est ambitieux, Durex souhaite en effet recruter 20.000 testeurs. Et pour cela, la marque a besoin d'attirer vers elle au moins 35.000 personnes afin de pouvoir composer un échantillon représentatif de ses clients. Et en particulier les 18/25 ans, qui sont près de 60 % à utiliser des préservatifs et qui totalisent 50 % du marché.

Durex choisit de jouer la carte du viral avec un dispositif allant du 27 mars au 30 avril. La société commence par créer un site, Durextesteurs.fr, sur lequel les internautes peuvent s'enregistrer pour recevoir un préservatif gratuit et participer à l'enquête. En prime, Durex propose trois vidéos humoristiques, des e-cards, ainsi qu'un lien vers son site marchand, qui depuis le début de l'opération a quadruplé son audience et doublé ses ventes.

Pour le faire connaître, Durex a principalement axé son plan média sur des sites de rencontre pour jeunes, comme Spiceyou.com ou Meexup ainsi que des sites relayeurs de tendances, comme MySpace, Novaplanet.com et Technikart.com. Les formats choisis sont les bandeaux et/ou l'habillage de pages.

En outre, des hommes sandwich distribuant des affichettes promouvant le site ont écumés les campus et universités des 5 plus grandes villes étudiantes de France : Paris, Bordeaux, Lille, Toulouse et Lyon. Au total, 40.000 de ces affichettes pensées comme des coupons d'offres de services à découper, comme on en trouve chez des commerçants, ont été distribuées. Enfin, cinq panneaux d'affichage en 4X3 ont été disposés dans Paris.

A quelques jours de la fin de l'opération, Durex prévoit 150.000 connexions en un mois. Pour Emma Berger, l'objectif de ce dispositif est avant tout de connaître la perception du produit et les expériences produit de ses utilisateurs. "Cela nous coûte plus cher que si nous avions mis en place des enquêtes de consommation classiques. Mais nous pensons que les résultats seront plus fiables, ce qui sera bénéfique tant pour nos équipes techniques que marketing". Au total, plus de 60.000 personnes se sont inscrites, soit bien plus que n'en escomptait Durex, qui avait pourtant monté ce vaste dispositif en craignant de ne pas atteindre le quota qu'il s'était fixé.

Le site : http://www.durextesteurs.fr/

Comparer le trafic des sites Web avec Alexa



On vous dit souvent que tel site fait x millions de pages vues et que l'autre (son concurrent) fait y millions mais impossible de vérifier. C'est maintenant chose possible grace à Alexa. Dans l'exemple retenu, j'ai comparé le trafic de Google vs Yahoo,
ce qui nous permet de constater que Google est passé devant Yahoo en 2006 et que depuis ils sont aux "coudes à coudes" !

Alexa mesure aussi l'audience des sites qu'ils soient connus (SNCF) ou peu connu (ce blog ou mon blog poker ou encore mon Ziki).

On apprend aussi que le classement des sites (en fonction de leur audience) est le suivant :

  1. Yahoo
  2. MSN
  3. Google
  4. YouTube
  5. MySpace
  6. WindowsLive
  7. Baidu
  8. Orkut
  9. QQ
  10. Yahoo
Sur ces 10 sites, 2 sont tres récents et ont réussi à s'imposer grace au Web 2.0. Serait-ce l'annonce d'une véritable révolution ???...

JB

Tous les logos de Google

Vous trouverez ici toutes les variantes des logos de Google, dont voici quelques exemples :


Google Pack : tous les logiciels essentiels et gratuit

Google Pack est :

  • Essentiel : des logiciels utiles et sûrs sur votre ordinateur.
  • Simple : quelques clics suffisent pour télécharger et installer tous les logiciels.
  • Personnalisable : choisissez uniquement les logiciels qui vous intéressent.
  • Toujours à jour : accédez aux dernières mises à jour et aux nouveaux

Pour télécharger ce pack : cliquez ici

Google Labs, le laboratoire technologique de Google



Google Labs présente certaines de nos idées préférées, qui ne sont pas encore prêtes pour un lancement grand public. Vos commentaires peuvent nous aider à les améliorer. N'hésitez pas à tester ces prototypes et à envoyer vos commentaires aux Googlers qui les ont développés.

Wanajob.com, le moteur de recherche d'offres d'emploi nouvelle génération.

Wanajob n’est pas le nouveau service d’offres d’emploi de l’ex-Wanadoo devenu Orange mais un nouveau moteur de recherche verticale dédié à l’emploi dont l’approche est très similaire à celle de SimplyHired, une startup Californienne qui a reçu un investissement de Fox Interactive la maison mère de MySpace. Wanajob vient d’ouvrir il y a quelques minutes.
L’idée de Wanajob est très simple: indexer l’ensemble des offres d’emploi disponibles sur le web (tableau d’offres, section “emploi” des sociétés…) et les rendre accessible via un moteur de recherche. Vous me direz que Keljob propose déjà cela: oui mais avec une différence majeure Wanajob référence gratuitement votre source. Wanajob n’inclut les sources des sociétés qui auront uniquement donné leur autorisation. L’utilisation est aussi gratuite pour l’utilisateur

Second Life : un monde où refaire sa vie

Dans cet univers virtuel persistant, on peut bâtir des villes, nouer des amitiés, avoir des expériences sexuelles inédites et même créer son entreprise... Un nouveau continent qui compte aujourd’hui 280 000 habitants et voit circuler cinq millions de dollars par mois.

C’est où ?
On s’inscrit sur le site www.secondlife.com

C’est combien ?
Deux formules possibles : la première, gratuite, permet de créer son avatar et de se balader dans le monde virtuel, discuter avec les autres joueurs. En revanche, impossible d’acheter ou de construire. Pour cela, il faut souscrire l’offre Premium (9,95 dollars par mois, environ 7,70 euros) et donner ses coordonnées bancaires. La monnaie locale est le Linden dollar. Elle peut être échangée contre de vrais billets verts et vice versa selon un taux fluctuant. 1 US dollar = 265 LD.

C’est quoi ?
Second Life n’est pas à proprement parler un jeu, il n’y a pas de mission à remplir ou de monstres à abattre comme dans le plus populaire des jeux en ligne, World of Warcraft. Le joueur est d’abord invité à créer son avatar, un double virtuel. Il peut alors se promener dans les décors construits par d’autres, tchater avec les résidents, prendre des photos, jouer au casino, aller au cinéma, faire du shopping... C’est plutôt un lieu de sociabilité. Mais on peut également y développer une activité économique. Les résidents ont les droits de propriété intellectuelle des objets qu’ils fabriquent (vêtements, bijoux, moyens de locomotion, etc.). Ils peuvent vendre et acheter des objets virtuels contre des Linden dollars.
C’est quand ? Tout le temps, jour et nuit, sept jours sur sept. Second Life est un monde virtuel dit «persistant» : il continue d’évoluer même quand on est déconnecté

La valeur du jour à Wall Street - Google, un milliard de bénéfices !!!


Google gagne 3,48% à 488,08 dollars, ses comptes du premier trimestre ayant une nouvelle fois laissé sur place les anticipations des investisseurs. Le célèbre moteur de recherche a pu compter sur son coeur d'activité, la publicité en ligne. Sa capacité à adapter les publicités à la cible voulue et à mesurer leur efficacité est appréciée des annonceurs, ce qui se traduit par des gains de parts de marché. Non seulement, Google surperforme la concurrence, mais la taille du gâteau à partager s'accroît, la migration de la publicité traditionnelle vers la publicité en ligne s'accélérant.Au premier trimestre, le chiffre d'affaires de Google a augmenté de 63% à 3,66 milliards de dollars. En excluant les coûts d'acquisition du trafic (recettes reversées aux partenaires publicitaires), les ventes s'élèvent à 2,53 milliards de dollars, en ligne avec les attentes. La croissance a été tirée par les propres sites du groupe, dont l'activité a augmenté de 76% pour atteindre 2,28 milliards, ce qui représente 62% des ventes totales.Grâce au dynamisme de son activité, Google a vu son bénéfice net bondir de 69% à 1 milliard de dollars, soit 3,18 dollars par action. Hors éléments exceptionnels, le bénéfice par action est ressorti à 3,68 dollars alors que les analystes consultés par Thomson Financial tablaient en moyenne sur seulement 3,30 dollars. Google a bénéficié des performances de son coeur d'activité, la publicité en ligne. Les recettes de Google proviennent principalement des publicités contextuelles placées sur le moteur de recherche. Selon le bureau d'études ComScore, la part de marché du groupe dans la recherche sur Internet a ainsi atteint 48% au premier trimestre contre 42%, un an plus tôt. Voir le cours de l'action : ici

Internet joue les Trublions dans la Campagne Présidentielle

Qu’il semble loin le temps où les Français découvraient à la télévision, aux environs de minuit, le nom de leur nouveau président de la République. Depuis, les délais se sont raccourcis et l’annonce du ou des vainqueurs à l’issue des premier et second tours se déroule à 20 heures pile, horaire de fermeture des derniers bureaux de vote en France métropolitaine (ceux de la région Ile-de-France principalement). Un embargo sur les résultats court d’ailleurs pour le public jusqu’à cet horaire.

Depuis une semaine pourtant, la polémique sur la publication anticipée des résultats du premier tour de l’élection présidentielle 2007 enfle autour d’un nouveau média : l’Internet. Des acteurs médiatiques de la blogosphère française ont en effet annoncé leur intention de publier des rumeurs et chiffres de tendance dès 18 heures dimanche 22 avril.

Le Web peut-il s’affranchir ainsi de la loi alors que les autres médias, audiovisuels notamment, sont contraints au silence ? La diffusion anticipée en ligne d’informations concernant l’orientation du scrutin ne menace-t-il pas la sincérité de ce même scrutin ? Retour sur la polémique et décryptage de la loi. La suite

DoubleClick passe chez Google

Et un rachat de plus pour le celebre moteur de recherche...
Google vient en effet d'annoncer le rachat de la régie Doubleclick pour la bagatelle de 3,1 milliards de dollars. Avec ce rachat Google fait d'une pierre deux coups. En premier lieu, il relègue Microsoft au second plan. La firme de Bill Gates, qui espérait mettre la main sur DoubleClick pour renforcer sa position sur le marché de l'e-pub, n'aura pas réussi à avoir le dernier mot face à la surenchère de Google qui disposait d'un trésor de guerre de 11,2 milliards de dollars fin 2006.
Ainsi, Google va pouvoir rependre la techno de doubleclick qui permet aux annonceurs de piloter à la performance et de contextualiser des campagnes de bannières publicitaires.
Avec ce rachat, Google s'attire les foudres de Microsoft ou encore Time Warner qui ont saisi l'Autorité Américaine Anti Trust... et d'un coup l'expression "c'est l'hopital qui se fout de la charité" prend tout son sens.

Pimp My Candidate




Je tenais à vous faire partager ce grand moment de fou rire réalisé par le site Presidentielle et qui met en scène chaque candidat dans des scenettes très bien réalisées (avec une production son vraiment vraiment délirante).N'attendez plus et visionnez au plus vite tous les épisodes de Pimp my candidate.

Pour Qui Voter ?

Pour qui voter ?
A 3 semaines du 1er tour de l'election présidentielle, je vous recommande ce site. En quelques questions clés, vous saurez qui est le candidat le plus proche de vos opinions. Je viens de le faire et j'avoue que c'est clairement déroutant et surprenant. Comme quoi, si les candidats communiquaient vraiment sur leur programme plutot que de lancer des petites phrases assassines et démagogiques....Rendez vous donc ici pour faire le test du candidat.